Dans son livre Petits précis d’agriculture paru aux éditions France Agricole, Françoise Néron le rôle de la température dans le développement des plantes.
La réserve hydrique d’une parcelle se distingue en plusieurs catégories :
– L’eau de gravité qui occupe la macroporosité, lorsque toute cette eau s’est écoulée on dit que la parcelle a atteint le point de ressuyage ou la capacité au champ
– La réserve utile qui occupe la microporosité, c’est l’eau que la plante puise via ses racines
– L’eau capillaire inutilisable qui se loge dans les espaces lacunaires plus fins et inaccessibles pour la plante
L’évapotranspiration correspond au déficit hydrique d’une parcelle, c’est-à-dire aux pertes par transpiration des végétaux et évaporation de l’eau dans le sol.
Les conséquences d’un excès ou d’une quantité insuffisante d’eau peut avoir de lourdes conséquences sur la culture telles que :
Pour l’excès :
– Dégradation de la structure
– Favorisation la faune et la flore anaérobie
– Asphyxie la culture
– Complexification du travail du sol
Pour la sécheresse :
– Une baisse de rendement
– Le flétrissement permanent soit la mort de la plante
Une bonne gestion de l’eau présente plusieurs solutions en fonction des problématiques que ce soir via le travail du sol, sa restructuration ou l’irrigation.
